Le livre de poche - 96 pages - 1.50?
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A Paris, au d?but du XVIIe si?cle, trois peintres devisent de leur art. L'un est un jeune inconnu, promis ? la gloire : Nicolas Poussin. Le deuxi?me, Franz Porbus, portraitiste officiel de feu le roi Henri IV, est, lui, dans la pl?nitude de son talent et au fa?te de la renomm?e. Le troisi?me, ma?tre Frenhofer, personnage plein de myst?re qui a c?toy? les plus grands ma?tres et assimil? leurs le?ons, met la derni?re main dans le plus grand secret ? un bien myst?rieux ?chef-d'oeuvre?. Il faudra que Gillette, la compagne de Poussin, en qui Frenhofer esp?re trouver le mod?le id?al cherch? en vain depuis des ann?es, soit admise dans l'atelier du peintre pour que, y p?n?trant derri?re elle, Porbus et Poussin d?couvrent le tableau dont Frenhofer gardait jalousement le secret. Et cette d?couverte les plongera dans la stup?faction.Ce ?conte fantastique? ? la mani?re d'Hoffmann est aussi une m?ditation sur le pouvoir de l'esprit dans le domaine de l'art. Il prend naturellement sa place parmi les Etudes philosophiques de La Com?die humaine.
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Mon avis :
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A Paris, au d?but du XVIIe si?cle, trois peintres devisent de leur art. L'un est un jeune inconnu, promis ? la gloire : Nicolas Poussin. Le deuxi?me, Franz Porbus, portraitiste officiel de feu le roi Henri IV, est, lui, dans la pl?nitude de son talent et au fa?te de la renomm?e. Le troisi?me, ma?tre Frenhofer, personnage plein de myst?re qui a c?toy? les plus grands ma?tres et assimil? leurs le?ons, met la derni?re main dans le plus grand secret ? un bien myst?rieux ?chef-d'oeuvre?. Il faudra que Gillette, la compagne de Poussin, en qui Frenhofer esp?re trouver le mod?le id?al cherch? en vain depuis des ann?es, soit admise dans l'atelier du peintre pour que, y p?n?trant derri?re elle, Porbus et Poussin d?couvrent le tableau dont Frenhofer gardait jalousement le secret. Et cette d?couverte les plongera dans la stup?faction.Ce ?conte fantastique? ? la mani?re d'Hoffmann est aussi une m?ditation sur le pouvoir de l'esprit dans le domaine de l'art. Il prend naturellement sa place parmi les Etudes philosophiques de La Com?die humaine.
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Mon avis :
J'ai beaucoup aim? cette petite nouvelle de Balzac bien que je n'ai pas ressenti les m?mes choses que d'habitude. Normalement quand je lis un livre de lui, d?s les premi?res pages je suis charm? et je me laisse aller au gr? de ma lecture mais pas avec celle-ci ...
L'histoire en elle-m?me est int?ressante et bien exploit?e. Poussin est dans cette nouvelle, un peintre en soif d'apprendre de nouvelles techniques, de s'am?liorer. Pour cela il va ? la rencontre du peintre Porbus chez qui il rencontrera un peintre au grand talent qui est en train de peindre son chef-d'oeuvre depuis 10 ans - il est donc ? la recherche de la perfection. Pour pouvoir voir ce grand tableau tant attendu, Poussin donnera son amante au vieux peintre pour que celui-ci v?rifie son oeuvre sur une vraie femme... Pour la fin je m'imaginais donc un truc grandiose, une description de l'oeuvre .... mais non, ?a ne s'est pas pass? comme ?a : la fin m'a donc surprise mais pas tellement en bien, il est vrai que c'est un gros rebondissement mais ?a ne m'a pas fait ouvrir de grands yeux en me disant " OMG ! " comme dans ses autres livres...
Les personnages sont tr?s peu nombreux : il n'y en a que 4 mais malgr? tout je ne me suis attach? ? aucun d'eux sauf peut ?tre l'amante qui doit montrer son corps par amour pour Poussin et dont l'amour se ressent lorsqu'elle parle. C'est un beau sacrifice non ? Poussin lui ne m'a paru obnubil? que par la peinture, il redevient amoureux ? la fin quand la femme lui demande quelque chose .... Ce sont les deux seuls personnages qui m'ont un minimum int?ress? les deux autres, bofs, bien que le vieux peintre soit assez fou et que Porbus soit un ami tr?s sinc?re...
L'?criture de Balzac est toujours aussi enchanteresse, j'ai retrouv? tout ce qui me pla?t dans son style.
L'histoire en elle-m?me est int?ressante et bien exploit?e. Poussin est dans cette nouvelle, un peintre en soif d'apprendre de nouvelles techniques, de s'am?liorer. Pour cela il va ? la rencontre du peintre Porbus chez qui il rencontrera un peintre au grand talent qui est en train de peindre son chef-d'oeuvre depuis 10 ans - il est donc ? la recherche de la perfection. Pour pouvoir voir ce grand tableau tant attendu, Poussin donnera son amante au vieux peintre pour que celui-ci v?rifie son oeuvre sur une vraie femme... Pour la fin je m'imaginais donc un truc grandiose, une description de l'oeuvre .... mais non, ?a ne s'est pas pass? comme ?a : la fin m'a donc surprise mais pas tellement en bien, il est vrai que c'est un gros rebondissement mais ?a ne m'a pas fait ouvrir de grands yeux en me disant " OMG ! " comme dans ses autres livres...
Les personnages sont tr?s peu nombreux : il n'y en a que 4 mais malgr? tout je ne me suis attach? ? aucun d'eux sauf peut ?tre l'amante qui doit montrer son corps par amour pour Poussin et dont l'amour se ressent lorsqu'elle parle. C'est un beau sacrifice non ? Poussin lui ne m'a paru obnubil? que par la peinture, il redevient amoureux ? la fin quand la femme lui demande quelque chose .... Ce sont les deux seuls personnages qui m'ont un minimum int?ress? les deux autres, bofs, bien que le vieux peintre soit assez fou et que Porbus soit un ami tr?s sinc?re...
L'?criture de Balzac est toujours aussi enchanteresse, j'ai retrouv? tout ce qui me pla?t dans son style.
Encore un Balzac appr?ci? m?me s'il ne l'a pas autant ?t? qu'avec ses autres livres !