• Le livre de Poche - 312 pages - 6,90€ Sebastian Fitzek : Le briseur d'âmes

    Un psychopathe sévit dans les environs de Berlin. Lorsque la police retrouve ses victimes, ces dernières sont vivantes, mais prostrées dans un état végétatif, psychologiquement anéanties, comme privées de conscience… D’où le surnom que lui a donné la presse : le briseur d’âmes. 
    Caspar, un amnésique d’une quarantaine d’années interné dans une clinique psychiatrique de luxe, n’aurait jamais imaginé croiser le chemin de ce psychopathe. Et pourtant, en cette veille de Noël, alors qu’au-dehors une tempête de neige fait rage, lui, le personnel médical et quelques patients se retrouvent enfermés dans la clinique, coupés du monde… avec le briseur d’âmes. Et, cette fois, il tue !

    Mon avis : 

    Encore un avis sur un livre de Sebastian Fitzek ! Et oui, il est en train de devenir tout bonnement incontournable dans ma bibliothèque et j'ai très envie de vous donner envie de le lire tant c'est un grand maitre du thriller !

    Le briseur d'âmes est recherché dans toute l'Allemagne, la police est dépassée ! Comment fait cet homme pour briser ses victimes sans pour autant les tuer ? Que fait-il dans cette clinique psychiatrique hupée ? Les habitants de la clinique iront jusqu'au bout de la peur...

    La trame de l'histoire est tout bonnement excellente puisqu'il y a deux récits : en premier lieu nous lisons un dossier médical et nous suivons l'expérience des personnes qui le lisent ! Fitzek, comme d'habitude, a une imagination débordante, à vous glacer le sang ! Cependant, pour une fois, j'ai trouvé cette histoire un peu lente, l'auteur prennait un peu trop son temps pour distiller la Peur et j'étais parfois un peu moins dans l'ambiance à cause de cela. J'ai adoré être dans le même bateau que Caspar, on ne sait pas plus de choses lui et on est surpris comme lui à chaque nouveau flash back qui l'assaille. La fin, où tout s'accèlere enfin, nous laisse bouche bée face aux révélations mais j'avoue que je n'ai pas été autant surprise que d'habitude. En effet, bien qu'il y ait l'effet de surprise, la fin n'est pas autant spectaculaire que dans Thérapie par exemple. Après, je pense que lire plusieurs Fitzek à la suite enlève l'effet spectaculaire de son style et j'imagine que j'aurais plus aimé si j'avais mis un livre entre les deux Fitzek que j'ai lu à la suite ! Dans tous les cas, j'ai hâte de lire la suite de ce tome ! De plus, sachez qu'il y a un gros rapport entre Thérapie et Le briseur d'âmes du coup je vous conseille de lire Thérapie en premier lieu même si les lectures sont indépendantes ;) La fin m'a fait un peu peur quand on découvre le pourquoi de l'expérience des deux jeunes gens et j'ai failli y croire ! A vous de découvrir de quoi je parle, vous allez vous ça vous scotche sur place ! 

    Caspar est un personnage très énigmatique dû à son amnésie et j'ai apprécié le suivre dans sa recherche de son identité surtout que dès le début on comprend qu'il cache quelque chose de très lourd dans son passé, tellement lourd que son cerveau a souhaité oublié ! Les personnages secondaires sont toujours sublimés avec Fitzek et on se fait vite avoir ! Attention à vous : c'est toujours le personnage dont on s'attend le moins qui est le meutrier ! Mystère mystère ! 

    Pour ce qui est de l'écriture de Fitzek, elle est fidèle à ses autres histoires. Rapide, simple à lire et pourtant bourrée de suspence ! Plus je lis Fitzek plus je me rends compte que c'est le roi du cliffhanger à chaque fin de chapitre, j'apprécie ! 

    En bref, encore un Fitzek réussi mais je ne vous conseille pas de découvrir l'auteur avec celui-ci, tentez plutôt Thérapie avec lequel vous ne serez pas déçus ! 


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  • Ed Emberley : Va-t-en, Grand Monstre Vert ! L'école des Loisirs - 30 pages - 12,20€ 

    Pour faire apparaître le grand monstre vert, il suffit de tourner les pages : un jeu de découpages fait surgir le visage en commençant par les yeux, puis le nez, puis une grande bouche rouge avec des dents blanches et pointues... jusqu'à obtenir une tête de monstre, plus drôle qu'effrayante. Surtout qu'il suffit de continuer à tourner les pages pour la faire disparaître graduellement. On peut recommencer à l'infini pour jouer à se faire peur et se rassurer. Un cauchemar sur mesure, parfaitement maîtrisable, idéal pour dédramatiser et contrôler les frayeurs irraisonnées des enfants entre 3 et 6 ans.

    Mon avis : 

    Je connais cet album absolument par coeur ! Je l'ai tellement lu et relu aux petits que je gardais lors de mes babysitting que je suis calée ! Après, je ne vous cacherai pas qu'on ne peut pas se lasser de ce petit album absolument adorable! 

    Dans cet album, on doit tourner les pages pour faire apparaitre et disparaitre le Grand Monstre Vert brrr ! L'histoire, bien que particulièrement simple, est adorable et passionne facilement les enfants (voire les plus grands !) avec le jeu de couleurs et de découpe des pages. En effet, tout au long de l'album, les découpes permettent petit à petit à l'enfant de matérialiser ce grand monstre qui semble plus pataud que méchant. Cependant, on sait que les enfants adorent les monstres, les grands méchants loups et tout ce qui est vilain, pas beau et méchant mais pas trop quand même, du coup ça fonctionnera toujours !

    Ed Emberley : Va-t-en, Grand Monstre Vert !

    Ici, le système de découpes permet à l'enfant de contrôler l'objet de sa peur et lui fait comprendre que la vilaine peur, on peut toujours la contrôler ! Outre cela, le coté ludique de la chose leur permet de découvrir des procédés manuels peut être inconnu au bataillon ! Les couleurs sont extrêmement vives et attisent la curiosité et l'envie de lecture des enfants ! 

    Cet album est absolument génial ! Génial à travailler en classe (si quelques futurs instits comme moi passent par ici) mais aussi pour faire des activités autour à la maison ! En gros, cet album est parfait pour donner l'envie de découvrir les livres aux plus petits ! 

    * Livre faisant parti de la liste de référence du cycle 1.


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  • Nathan - 32 pages - 5,70€ Thierry Lenain & Delphine Durand : Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ?

    Pour Max, le monde était divisé entre les Avec-zizi et les Sans-zizi, et, bien sûr, les premiers dominaient les seconds. Mais, Zazie, la nouvelle de la classe, dessine très bien, joue au foot, sait monter aux arbres et gagne à chaque fois qu'elle se bat ! Aurait-elle un zizi, elle aussi ? Max profite d'un après-midi à la plage où Zazie et lui ont oublié leur maillot de bain pour en avoir le coeur net... 

    Un regard malicieux tout en finesse, sur la première découverte de la sexualité.

     

    Mon avis : 

    J'ai souvent vu sur les blogs de littérature jeunesse cette petite série avec Mademoiselle Zazie, du coup, quand je suis passé à la bibliothèque et que j'ai vu ce tome, je n'ai pas réfléchi et je l'ai embarqué ! Je ne regrette pas du tout, c'est un petit livre très mignon avec une belle morale! 

     

    Max est un petit garçon qui sépare les gens en deux catégories : les avec-zizi et les sans-zizi sauf que quand Zazie arrive dans la classe et se comporte comme un garçon le voilà bien embêté ! Est-ce que Zazie a un zizi en fin de compte ? Max va mener l'enquête. 

     

    Tout au long de cette petite histoire toute mignonne, Max va développer son amitié avec Zazie et découvrir que oui oui une fille peut jouer au foot, grimper aux arbres et attention les yeux : aimer les mamouths ! Durant ma leture, je n'ai cessé de sourire tant le tout est bourré de mignonnerie ! Max n'est pas "mysogine" (en même temps c'est un enfant, si ils étaient mysogines ce serait appreurant!) mais disons qu'il est marqué par la société qui veut que les filles ne soient pas identiques aux garçons et lui, il le comprend avec ses mots à lui : c'est parce qu'elles n'ont pas de zizi ! Du coup on comprend que pour lui, les filles ne sont pas complètes, il leur manque un truc qui les empêche de tout faire comme les garçons. En rencontrant Zazie, il se rend compte que non, il ne manque rien aux filles mais je vous laisse découvrir pourquoi par vous même parce que c'est vraiment adorable ! 

     

    J'ai adoré suivre les péripéthies de ce petit garçon et de Zazie, ils sont absolument adorables ! Max ne reste pas campé sur ses positions, il veut vraiment comprendre pourquoi Zazie n'est pas comme les autres filles et adopte presque une position scientifique en voulant voir si Zazie n'est pas doté d'un zizi en réalité, y a t-il des classes de filles "zizifiées" ? Ce petit bonhomme est très curieux et on ne peut que l'adorer dès le premier regard ! Zazie, elle est une petite fille espiègle tout aussi adorable ! 

     

    L'écriture de Thierry Lenain est fort drôle et mignonne. Le tout est fait pour que les enfants puissent lire rapidement le roman avec plaisir et je suis sure que ça doit être un pari réussi à tous les coups ! Le tout colle d'ailleurs bien avec les illustrations colorées de Delphine Durand même si j'avoue avoir un peu de mal avec celles-ci ! En effet, bien que j'apprécie le petit coté rétro, les visages sont un peu flippant selon moi surtout les sourires qui font un peu carnassiers.. Outre cela, j'aime bien la patte de Delphine Durand, je suis sure qu'on reconnait ses illustrations en un clin d'oeil, ce que j'apprécie ! 

     

    En bref, un petit livre très mignon qui n'a pas volé sa notoriété ! Parfais pour une réponse en douceur des premières questions sur la sexualité (car oui, elles arrivent toujours tôt celles-là ! ^^). 


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  • Rageot - 311 pages - 11€90Olivier Gay : Le noir est ma couleur T1 - Le pari

    Normalement, Alexandre le bad boy du lycée n'aurait jamais prêté attention à Manon l'intello du premier rang. Pourtant, à la suite d'un pari, il a décidé de la séduire.
    Normalement, Manon n'aurait jamais toléré qu'Alexandre vole à son secours. Pourtant dans l'obscurité d'une ruelle, sa présence s'est révélée décisive.
    Alexandre doit se rendre à l'évidence. Rien n'est normal dans cette histoire.
    Manon acceptera-t-elle qu'il entre par effraction dans son univers ?
    Deux destins liés malgré les apparences...

    Mon avis : 

    J'ai découvert ce livre sur le blog de Regina-Falange qui avait fait un superbe avis sur son blog ! Du coup quand je suis allée au Salon du Livre Jeunesse de Montreuil de 2014 et que je l'ai vu sur le stand de Rageot je l'ai pris sans hésiter et je ne regrette pas du tout tant et si bien que j'ai failli faire une nuit blanche à cause de lui !

    Manon est une jeune lycéenne pas comme les autres, elle cache un lourd secret, un secret qui pourrait lui coûter la vie... Alexandre est le bad boy du lycée, trainant toujours avec sa bande dans des bars... Tous les sépares et pourtant ils sont liés ...

    J'ai totalement adoré cette histoire plus qu'originale ! En effet, ici nous retrouvons de la magie mais pas n'importe quelle magie ! La magie des couleurs ! Je vous l'accorde, dis comme cela, on dirait un dessin animé du style bisounours mais non non non détrompez-vous, ici la magie est complexe, il y a un véritable apprentissage à faire pour ceux qui l'ont dans les gènes ! J'ai adoré la manière d'aborder cette magie, l'explication par la sensation des couleurs : c'est extrêmement bien expliqué et nous ne sommes jamais perdus ! Les évenement s'enchainent sans accrocs et le tout devient très rapidement addictif ! La bataille entre les mages colorés et les mages noirs est passionnante et je suis sure que dans les prochains tomes le tout sera encore plus exploité : j'ai hâte, j'ai hâte ! En outre, la relation chien-chat entre Manon et Alexandre est géniale ! Rien n'est jamais gagné d'avance, ce n'est pas une relation simple du style "coup de foudre au premier coup d'oeil" (style niais que je n'apprécie guère !). Sachez avant d'ouvrir ce livre que l'auteur est un sadique avec ses lecteurs ! La fin m'a fait crié de désespoir et je n'ai qu'une envie : avoir le second tome et vite !

    Comme je le disais plus haut, la relation entre Manon et Alexandre est particulièrement compliquée ce qui produit des situations cocasses très savoureuses pour nous lecteurs ! Manon est le cliché de la bonne élève au premier rang et Alexandre le cliché du bad boy coureur de jupons. Normalement ce genre de clichés me dérange mais là, j'étais tellement  transportée par l'histoire et les personnages que j'ai totalement oublié cet aspect ! Manon est une jeune fille forte et fragile à la fois, il est difficile de ne pas l'apprécier ou de ne pas la comprendre. Alexandre est le bad boy qui charme du premier coup et ça n'a pas manqué sur moi : j'ai eu un véritable coup de coeur sur ce personnage ! On comprend rapidement qu'il n'est pas qu'un méchant garçon, il a une fragilité très touchante ce qui le rend terriblement attachant ! Les personnages secondaires sont bien réalisés, ils s'ancrent bien dans l'histoire avec une véritable personnalité ainsi qu'un passé bien à eux, c'est assez rare que les personnages secondaires soient tant creusés et c'est particulièrement appréciable ! 

    Une chose supplémentaire que j'ai adoré : l'écriture d'Olivier Gay ! Simple et pourtant très vivante, il y a beaucoup de peps dans son écriture ce qui nous ôte l'envie de poser le livre avant la fin ! Déjà que l'histoire est addictive, si on rajoute une bonne écriture vous comprennez facilement pourquoi ce premier tome m'a valu une nuit presque blanche ! 

    En bref, si vous aimez les histoires de magie originales, une écriture vivante et une histoire addictive : ce livre a carrément été fait pour vous ! En tout cas pour moi, c'est un coup de coeur ! Merci Régina-Fallange pour la découverte !


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  • Editions Frimousse - 40 pages - 16€Michael Escoffier & Romain Guyard : 20 bonnes raisons d'aller à l'école

    Après les 20 bonnes raisons de croire au père noël, Michaël Escoffier et Romain Guyard s’attaquent aux 20 bonnes raisons d’aller à l’école, parce que des fois nos chères têtes blondes ont un peu besoin qu’on leur rappelle que ne pas aller à l’école, c’est prendre pas mal de risques !
    Mélanger les flacons de shampoing avec les sodas, se retrouver dans une bulle emporté par le vent, atterrir sur un bateau de pirates, faire enrager sa mère (qui en devient une maman (rouge) tomate), se retrouver avec des couches et faire la guerre aux limaces…
    Toujours aussi délirants et déjantés, Michaël Escoffier et Romain Guyard n’offrent au final pas d’autres possibilités que d’aller à l’école… pas mal en ces temps de rentrée scolaire.

    Mon avis : 

    Lors d'un petit passage en bibliothèque, je suis tombée sur cet album qui a titillé ma curiosité de future maîtresse d'école. En effet, un livre qui donne envie aux enfants d'aller à l'école, c'est toujours bons à lire !

    Dans cet album, Michael Escoffier s'amuse à imaginer ce qu'il peut arriver si les enfants n'allaient pas à l'école et brouuuh il vaut mieux y aller ! En effet, qui a envie de boire du shampoing à la place du soda parce qu'il ne sait pas lire ou pire aller vivre sur la lune parce que les limaces géantes auraient mangé la Terre ? Personne ! 

    Sincèrement, j'ai adoré cette lecture très intuitive ! Les causes à effets saugrenues que nous offre Michael Escoffier et Romain Guyard sont particulièrement drôles ; mention spéciale à celle du fils de la tomate qui ferait pipi sur ses frites pour avoir du ketchup ! C'est un humour déjanté qui fait son petit effet que ce soit sur les grands ou les petits ! Chapeau pour la grande imagination que possède l'auteur ! Le tout dédramatise le fait d'aller à l'école et montre l'importance de l'apprentissage dans la vie à des enfants qui, dès le plus jeune âge, n'aiment pas l'école parce qu'ils ne comprennent pas son importance ! 

    Michael Escoffier & Romain Guyard : 20 bonnes raisons d'aller à l'école

    Les illustrations de Romain Guyard sont vraiment très belles, très colorées et douces à la fois. J'aime beaucoup le rapport texte-illustrations que l'on peut découvrir ici. En effet, les deux sont en parfaite adéquation et explicitent avec douceur le texte aux lecteurs les plus jeunes et ravissent les yeux des plus âgés ! 

    En conclusion, cet album totalement adorable a réussi à me toucher en plein coeur par l'humour de son texte et la beauté de ses illustrations ! Il va falloir que je me le procure pour ma bibliothèque personnelle car j'espère pouvoir travailler autour en classe, avec mes élèves, un jour ! 


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  • MijadeVéronique Van den Abeele & Claude-K Dubois : Ma grand-mère a alzhei.. Quoi ? éditions - 28 pages - 11€

    Camille et sa grand-mère c'est la maison qui sent les confitures, l'album de photos, les gâteaux au chocolat et "le gros bisou qui pète". Mais un jour, quelque chose a changé. La mamie de Camille souffre de la maladie d'Alzheimer. Aujourd'hui, les infirmières s'occupent de Mamie et Camille lui apporte du gâteau et ses photos. Même si rien n'est comme avant, il y a toujours le "gros bisou qui pète"

    Mon avis : 

    Encore et toujours dans ma quête sur les livres aux sujets "taboux", j'ai croisé ce petit album à la bibliothèque alors je me suis lancée et ce fut une petite lecture sympathique. 

    De prime abord, je me suis demandée comment le sujet allait être traité. En effet, une maladie est toujours difficile à présenter surtout aux enfants. Alors quand j'ai commencé ma lecture je me suis vraiment intéressé à cela et j'ai été ravie de voir que le tout est traité avec beaucoup de tendresse, de douceur. L'alternance entre la mamie d'avant et la mamie malade n'est pas là pour critiquer mais au contraire pour faire comprendre aux enfants ce que la maladie provoque. L'approche de la maladie n'est pas dramatique, elle est montrée avec justesse ce qui aide à l'appréhender plus facilement pour l'enfant qui peut en avoir peur si il voit quelqu'un de sa famille en être victime. Le retournement de situation dû à la petite fille est adorable, terriblement touchant, on ressent vraiment les affinités entre la mamie et l'enfant. 

    Les illustrations sont très jolies, très tendres avec leurs couleurs pastelles qui rendent le tout un peu rétro. Je trouve que cela colle parfaitement avec le sujet, des couleurs trop vives auraient apportés de la brutalité dans l'image à mon avis. Véronique Van den Abeele & Claude-K Dubois : Ma grand-mère a alzha.. Quoi ?

    En ce qui concerne l'écriture, elle est simple et est le reflet de la tendresse que l'on ressent entre les deux personnages. En outre, il y a suffisamment de texte pour qu'un jeune lecteur puisse se lancer dans la lecture en solo (même s'il devra demander des éclaircissements à ses parents sur le sujet principal.)

    En fin de compte, c'est un très joli album qui permet une approche en douceur de la maladie pour débuter une discussion autour par la suite. 


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