Le livre de poche - 215 pages - 2.75?
Candide nous conte les m?saventures d'un voyageur philosophe qui affronte les horreurs de la guerre et les sanglants caprices de la Nature ; qui conna?t les d?sillusions de l'amour et d?couvre les turpitudes de ses semblables, faisant ? l'occasion l'exp?rience de leurs dangereuses fantaisies. Pourtant si l'homme est un bien m?chant animal et si l'existence n'est qu'une cascade de catastrophes, est-ce une raison pour que le h?ros perde sa s?r?nit? et le r?cit son all?gresse ? Sous la forme d'une ironique fiction, Candide propose une r?flexion souriante sur l'omnipr?sence de la d?raison qui puise sa force aux sources vives d'une exp?rience humaine, celle de l'auteur. Candide, on l'a dit, ce sont les ? Confessions ? de Voltaire, et c'est en cela qu'il nous ?meut.
Mais ce ? roman d'apprentissage ? est aussi - et peut-?tre surtout - un festival merveilleusement ordonn? de dr?lerie et de fantaisie sarcastique, ruisselant d'un immense savoir ma?tris? qui ne d?daigne jamais de porter le rire jusqu'au sublime.
Mon avis :
Candide nous conte les m?saventures d'un voyageur philosophe qui affronte les horreurs de la guerre et les sanglants caprices de la Nature ; qui conna?t les d?sillusions de l'amour et d?couvre les turpitudes de ses semblables, faisant ? l'occasion l'exp?rience de leurs dangereuses fantaisies. Pourtant si l'homme est un bien m?chant animal et si l'existence n'est qu'une cascade de catastrophes, est-ce une raison pour que le h?ros perde sa s?r?nit? et le r?cit son all?gresse ? Sous la forme d'une ironique fiction, Candide propose une r?flexion souriante sur l'omnipr?sence de la d?raison qui puise sa force aux sources vives d'une exp?rience humaine, celle de l'auteur. Candide, on l'a dit, ce sont les ? Confessions ? de Voltaire, et c'est en cela qu'il nous ?meut.
Mais ce ? roman d'apprentissage ? est aussi - et peut-?tre surtout - un festival merveilleusement ordonn? de dr?lerie et de fantaisie sarcastique, ruisselant d'un immense savoir ma?tris? qui ne d?daigne jamais de porter le rire jusqu'au sublime.
Mon avis :
J'ai un avis assez mitig? quant ? ce livre ... Candide est un jeune homme d'Allemagne qui va tomb? amoureux de Cun?gonde. Le baron ne va pas accepter cette relation et le chassera avec un bon coup de pied aux fesses... Ce qui sera le d?but de ses aventures bonnes mais aussi et surtout mauvaises...
Candide est peu attachant toujours en train de se lamenter sur Pangloss et Cun?gonde pour ? la fin en avoir marre d'eux ... et extr?mement cr?dule ! Pangloss est assez aga?ant avec ses airs de "je-sais-tout-je-suis-philosophe". Cun?gonde est un personnage extr?mement passif, elle se laisse faire tout le temps et cela m'a fortement agac? ! J'aime les personnages forts, qui ne se laissent pas faire, qui ont du caract?re... Les autres personnages ne sont pas plus attachants qu'eux, des fois certains sont cens?s ?tre mort et en fait non ... Les r?surrections, si je peux appeler ?a comme ?a, m'ont profond?ment ?nerv?, certes c'est un conte mais un peu de r?alisme ne fait pas de mal pardi !
Voltaire a, dans ce livre, encore une fois son ?criture simple, rapide et agr?able ? lire bien que, ici, certains chapitres sont beaucoup plus longs que dans Zadig. J'ai beaucoup aim? la morale qui se r?sume ? Il faut cultiv? notre jardin au dernier chapitre.
Certaines personnes m'ont dit que si j'avais aim? Zadig, j'aimerais Candide et bien pas vraiment j'ai appr?ci? lire ce livre mais vraiment sans plus. Je pense que j'aurai ador? si les personnages avaient eu un peu plus de consistance.
Candide est peu attachant toujours en train de se lamenter sur Pangloss et Cun?gonde pour ? la fin en avoir marre d'eux ... et extr?mement cr?dule ! Pangloss est assez aga?ant avec ses airs de "je-sais-tout-je-suis-philosophe". Cun?gonde est un personnage extr?mement passif, elle se laisse faire tout le temps et cela m'a fortement agac? ! J'aime les personnages forts, qui ne se laissent pas faire, qui ont du caract?re... Les autres personnages ne sont pas plus attachants qu'eux, des fois certains sont cens?s ?tre mort et en fait non ... Les r?surrections, si je peux appeler ?a comme ?a, m'ont profond?ment ?nerv?, certes c'est un conte mais un peu de r?alisme ne fait pas de mal pardi !
Voltaire a, dans ce livre, encore une fois son ?criture simple, rapide et agr?able ? lire bien que, ici, certains chapitres sont beaucoup plus longs que dans Zadig. J'ai beaucoup aim? la morale qui se r?sume ? Il faut cultiv? notre jardin au dernier chapitre.
Certaines personnes m'ont dit que si j'avais aim? Zadig, j'aimerais Candide et bien pas vraiment j'ai appr?ci? lire ce livre mais vraiment sans plus. Je pense que j'aurai ador? si les personnages avaient eu un peu plus de consistance.